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le tour du blog terrestre

25 janvier 2009

changement

Suite à quelques réclamations, je change l'architecture du blog, et je reviens à un style plus habituel, les premiers messages sont les plus récents et non plus l'inverse comme précedemment, voilàààààààààà.

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12 janvier 2009

Fourchette

OK, OK, après les derniers mails que je t’ai envoyé, j’ai reçu une avalanche de courrier de ta part (ça y est le tutoiement est de retour). Et je m'aperçois
qu’il n’est pas facile de satisfaire ta multitude, mais je sais que je suis quelque peu responsable de tes attentes désormais et comme je ne pourrais jamais te contenter entièrement, je vais reprendre mes veilles habitudes tergiversationnelles et me perdre de nouveau dans les délices de mes récits alambiqués...

Quelques soupirs de soulagement à droite, une déception discrète sur la gauche et une indifférence polie au milieu ( je sais que tu te reconnaitras).
Mais une question reste en suspend… où en étais-je?
Quelle est la dernière chose dont je t’ai parlé?
Ah oui, ça me revient! j'étais en route pour la frontière indienne et depuis une question te taraude, provoque en toi insomnie et maints cauchemars, et la voici exposée à tes yeux hagards:
“mais a t il retrouvé sa carte bleue?”
Un peu de patience mon ami, et lis donc ces quelques lignes :
Une fois mon oubli constaté, je me suis dépéchépresséderepartirensensinverse.
BING, BONG, BRRRRRRR, cahots et roulements, et moi face à une douzaine de népalais dans ce mini van, assis sur leurs sacs et bringuebalé de part et d’autres, mais je suis la voie du bouddha, et je reste zen.
Enfin, j’essaie, car à une vingtaine de kilomètres de Katmandu, après cette journée longue comme un Dimanche de pluie, un ralentissement retentit, c’est LE chek-point,

celui qui contrôle l’entrée dans la vallée de Katmandu, et là, il faut s’armer de tout son zen, de toute sa patience et essayer d’oublier ces minutes et ces heures qui passent.
Heureusement il y a les étoiles qui restent imperturbables et qui m’aident  à m'échapper à tout ce rodéo, où chaque avancée de quelques mètres donne lieu à des concerts de klaxons et de vrombissements de moteurs.
Mais finalement ça y est, le mini van parcourt les rues de katmandu . Il est 22 h, je suis parti a 6h ce matin pour finalement arriver au même endroit….
Ooooommmmmmm
Et mon taxi file , file jusqu'à un hôtel 4 étoiles, le chauffeur se retourne

Here we are, in durbar square!” me lâche t il dans un sourire.
Ooooooommmmmm
“Non, non, ce n’est pas durbar square, c’est pas grave, je vais vous indiquer” et me voila parti en direction de freak street.
Ouf, ça y est j’y suis enfin, il est 22h30, je me précipite vers ma chambre, je soulève le matelas:
rien,

le propriétaire me rejoint, enlève les draps et
les couvertures:

rien…

nous retirons la moquette, et là….
RIEN.
Ooooooooommmmmmm
Bon, comme la chambre a été nettoyée, la femme de ménage l’a peut être récupérée, il me faudra attendre le lendemain.

Je redescend raconter l’histoire à mes amis restés là, puis remonte me plonger dans mon duvet, j’ouvre mon livre, et je retire la carte bleue
qui me servait de marque page.
Oooooooommmmmmmmm
Bien, bien, bien, hummmm!!!!

              Il faut dormir a présent.
Lendemain matin, intérieur jour, chambre d'hôtel basse de plafond, un sac a dos est ouvert sur le sol et tout son contenu éparpillé alentour.
Une silhouette dans le lit double ouvre son sac de couchage.

Le jeune homme semble tout ébouriffé , mais commence a chanter “ ce soir ce soir c’est noël, les étoiles brillent dans le ciel, ce soir ce soir c’est
noël , la nuit a un gout de miel!!”
Son rendez vous indien n’est plus d'actualité, il n’a plus assez de temps, il passera donc noël a katmandu.
Le jeune homme se lève, récupère ses affaires de toilettes et se dirige vers la salle de bain, aux hurlements que l’on entend à travers la porte on
devine que l’eau est glacée, mais quelques secondes plus tard les hurlements sont remplacés par une étrange litanie:
“ooooooommmmmmm”
Extérieur nuit, ruelle de katmandou, quartier du marché, magasins éclairés de lampions et ambiance de foule.
Deux jeunes occidentaux, dont celui du matin, dominent la foule, passent de magasins en magasins, achetant du poulet ici, des fruits là et des légumes dans une autre échoppe.
On voit à leurs visages qu’ils sont heureux, et que malgré les kilomètres, l’ambiance de noël est bien présente.
Extérieur nuit, courette de l'hôtel entourée de vieux bâtiments en bois, un feu au centre, des chaises de troquets parisiens disposées autour de l'âtre. Une
table en fer forgée est juste à coté, et les victuailles achetées l'après midi y sont disposées avec un assortiment de couteaux, d’assiettes et de verres.
Les deux occidentaux de l'après midi et leur amie qui s’est jointe à eux s’affairent aux préparatifs.
La famille de l'hôtel est la aussi, ainsi que trois autres touristes. Le propriétaire a ouvert une bouteille d'alcool local à base de millet et les
occidentaux une bouteille de vin, la fête commence au milieu des chants et des tournées de brochette et d’alcool.

C’est Noël.
Bon, fin de ce mode de narration et retour au bonnes vieilles habitudes.
La soirée s’est terminée tard, dans l’immense chambre de carotte et de Fabien où nous avons éclusé bières et chansons de Brassens, et échangés des petits cadeaux (merci, merci, merci!!).
C’est Noël a katmandu. Et je me sens bien.
et la suite c'est un peu plus tard
ivan

14 décembre 2008

Toujours

Le Népal pour moi, c'est comme un film en accéléré, avec toutes les images qui défilent dans ma tête, tu sais c'est comme lorsqu'on se réveille au sortir d'un rêve et ou celui ci est encore net et précis, plein de couleurs et de fantasmagories, mais ou tu sais aussi que ces images, dans peu de temps, vont perdre de leur clarté dans les miettes du petit déjeuner.
Le Népal pour moi, c'est comme un tableau surréaliste, non,... impressionniste plutôt, des petites taches de couleurs posées ici et là, avec douceur ou avec violence, et dont on est obligé de s'éloigner pour en saisir toutes les nuances.
Les nuances dans les senteurs tout d'abord, celle du riz lors des moissons, celle de l'encens qui se mêle à celle des ghats de crémation, le long de la rivière
sacrée.
C'est là, à Pashupatinath,  que les familles en deuil se retrouvent, espérant toutes, en venant en ce lieu saint, interrompre le cycle des incarnations de leur mari de leur frère, de leur mari ou de leur enfant.
En faisant bruler ces corps et en mêlant les cendres au cours d'eau, l'âme du défunt parviendra peut être à la délivrance.
Tout autour de la rivière, les temples dédiés à shiva et à vishnu se succèdent, on peut y voir le peuple singe, dans un état d'excitation perpétuel, dévorer les offrandes des fidèles.
Les nuances dans les couleurs, celles que portent les sadhus, jaune, orange, rouge, leurs longs cheveux emmêlés dans des dreads informes, celles des drapeaux de prière qui entourent l'immense stuppa de Budnat comme un écrin et qui, dans les rayons du soleil,
semblent danser une folle farandole, se découpant dans la lumière pour mieux rehausser l'éclatante blancheur du monument bouddhiste.
Les nuances dans les musiques, celles des moines tibétains, engoncés dans leur tuniques rouges et le crâne rasé, aux sonorités envoutantes, celles des fanfares funky qui précédent tout mariage qui se respecte dans les rues de katmandu, et celles des rickshaws, des klaxons et des marchands ambulants.
Et au milieu de tout ça, au milieu de toutes ces nuances, il y a les dieux, les dieux multiformes et labyrinthiques du panthéon hindouiste.
Je me rappelle encore de cet homme d'affaire en costume, l'attaché-case à la main et les lunettes sévères, portant ses offrandes au temple, puis repartant, quelques minutes après, des fleurs dans les cheveux et des grains de riz collés sur le front, je vois aussi ces draps mis a sécher sur un stuppa ou sur la statue de garuda, l'homme oiseau, ou encore de
ces gamines qui avaient passé leur élastique autour de la statue de la monture de vishnu et qui s'entrainaient  à faire des figures de plus en plus en plus complexes, comme ici en inde, comme là bas chez toi où que tu sois...
Et puis,
Et puis il y a Baktapur et Padan, les cousines de Katmandu. aussi vieilles mais plus calmes, dans les ruelles desquelles j'ai adoré me promener au vent, sentant les pavés sous mes semelles. Toutes ces nuances d'ocre, tous ces temples aux etais érotiquement sculptés ou des éléphants font l'amour dans la position du missionnaire.
Cette place, recouverte de poteries mises a sécher au soleil, ces parties de criquet avec les enfants des ruelles, et les yeux des passants et des passantes, d'un marron parfois si lumineux qu'il semble briller comme un soleil.
Mais parfois tu le sais mon ami, il faut remettre son sac sur le dos et abandonner ses amis pour en retrouver d'autres, sur les rives d'un autre fleuve sacré, à Varanasi. le Gange...
Alors je suis parti aux aurores installer mon fessier et mes longues jambes dans un bus local, direction la frontière. Une heure puis deux passèrent à descendre et à monter en longeant les précipices, puis le bus s'arrêtât.
S'immobilisa derrière une longue file de véhicules tandis qu'une fumée s'envolait vers le ciel au loin.
Je suis donc descendu du bus

"qu'est ce qui se passe?" demanda ivan
" ce sont les maoïstes" lui répondit un indien "malgré l'arrêt des grèves, ils ont quand même décidé de montrer qu'ils étaient toujours là, et ils ont fait brûler deux bus touristiques pour bloquer la route, et 'armée qui n'est qu'à quelques kilomètres ne se
déplace même pas »

Après une heure d'attente , en un brusque mouvement, tout le monde se précipite dans les bus, la route est débloquée.
La route est de pire en pire, poussière et caillasses, mais après deux heures comme ça, on se retrouve de nouveau sur le macadam, et là,
à ce moment là,
après 7 heures de route,
je m'aperçois que j'ai oublié ma carte bleue à Katmandu...


suite au prochain épisode,
  dites moi un peu ce qu'il va se passer, que vais je
faire, comment vais je réagir???

11 décembre 2008

Enfin...

Hum, hum, mes doigts fatigués reprennent la route du clavier pour poursuivre leurs pérégrinations intempestives...
Bon, il est temps pour moi de me reposer un peu, et Pokharra va être le lieu de mon repos, j'y attends mon amie, marie laure, dite kupu kupu, dite mafalda, bon,
elle est un peu en retard mais ça me permet de glander délicieusement dans le jardin ensoleillé de ma guesthouse, entouré de fleurs et de papillons,
finalement la kupu arrive de trek et on passe quelques jours bien agréable à rire comme des baleines et à discuter en français, ça fait du bien de laisser
 shaekspeare pour molière.
Mais hélas dans ce petit lieu de quiétude, plein de soleil, de lacs, et de montagnes j'ai le malheur d'ouvrir mes mails un triste jour pluvieux pour apprendre la mort de mon ami Bertrand Boulard, le loulou est parti, il a sauté du train et nous nous continuons notre route, j'ai pas mal cogité pendant tous ces jours, repensé aux vacances passées ensemble,
aux discussions, aux soirées, à ses grands ça va tiiii????,

et voila qu'il n'est plus là,,,,
Alors, alors j'ai pris un drapeau de prière bouddhiste de toutes les couleurs,

mon sac,

ma boussole,

une carte,

et je suis parti dans la montagne avec mon bâton de voyageur,

seul.
J'ai marché à travers les sentiers,

parcouru des villages accrochés à flancs de montagne,

bu du raxi et rigolé avec les gens que je pouvais croiser,

j'ai fait travailler mes jambes l'une après l'autre dans un effort concerté,

vu les paysans travailler la terre dans les champs en terrasse,

vu le soleil se coucher et se lever et tout illuminer d'une saveur orangée,
pourpre et violette,

j'ai vu le ciel le plus bleu du monde se découper sur la blancheur des cimes
himalayennes,

j'ai vu des singes a tète bleue virevolter dans les arbres,

senti l'odeur des cuisines dans les maisons en terre ocre,

vu les femmes en sari de toutes les couleurs travailler dans les champs,

la faucille a la main,

j'ai vu toutes ces terrasses dévaler les pentes comme un escalier asymétrique, un peu dingue, mais d'une beauté renversante,

j'ai senti l'atmosphère devenir plus tenue au fur et a mesure que je grimpais vers les sommets,

j'ai senti aussi le froid mordant sur mes orteils dès que le soleil disparaissait derrière les montagnes,

et finalement,
j'y suis arrivé,

en plein coeur du sanctuaire des annapurnas, au camp de base de l'annapurna
de la neige partout, et le ciel en pleine journée d'un bleu si électrique qu'il t'oblige presque à baisser les yeux,

juste en face de moi le vent sur la crête fait naître des tourbillons de neige, comme si les
esprits de la montagne s'amusaient dans de folles farandoles.

Alors, alors j'ai posé mon sac,

ma boussole,

ma carte
et mon bâton de voyageur,

et je n'ai gardé que les drapeaux multicolores,

et je suis allé les installer sur un promontoire rocheux,

juste au pied des montagnes,

de ces sommets qui culminent a plus de 8000 mètres,

je l'ai déployé, comme on hisse les voiles d'un bateau elfique,

et à chaque drapeau j'ai donné le nom d'un ou d'une de ses amis et de sa famille,

et tout ça a commencé à claquer au vent,

emportant nos voeux vers un ailleurs qui n'existe pas,

mais j'ai fait ça pour lui,

pour moi,

pour toi,

pour nous ,

pour que notre train continue a glisser sur les rails de la vie...
voila ce que j'ai fait.

après

je suis redescendu
de la montagne
les yeux grands ouverts
heureux
de ces paysages
de ces gens
de ces couleurs
de ces senteurs
de toute cette vie
et toi dis moi
comment te sens tu?
mon ami,
mon lecteur?
mon poto...

bises a toi,
 

21 novembre 2007

Elus : le régime spécial

Elus : le régime spécial
Vidéo envoyée par iPolTV

Nos élus ont eux aussi un régime de retraite très spécial. Ne serait-il pas temps de lancer la grande réforme du statut des élus ? C'est le dossier d'iPol. www.ipol.fr

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21 novembre 2007

manifestation du 20 novembre

Il y avait du monde dans les rues de Rouen ce mardi 20 novembre, de nombreux agents de la fonction publique étaient là, avec notamment un fort cortége de profs du primaire et du secondaire, on retrouvait aussi dans le cortége de nombreux cheminots en grève depuis 6 jours ainsi que des étudiants en lutte contre la loi pecresse, mais aussi des infirmières, des pompiers, des postiers, des gaziers et des electriciens, et même oui même des employés des magasins leroy merlin...
mais il n'y avait pas que du monde dans la rue, il y avait aussi des gens aux fenêtres, notamment cette vieille dame souriante applaudissant le passage du cortége, ou encore ce chauffeur livreur klaxonant a notre passage et nous encourageant de ces paroles.
Bon, car il en faut bien un, je n'ai pas vu la plupart de mes amis profs, peut etre étaient ils en gréve eux aussi, toujours est il qu'ils ne se sont pas déplacé ce jour là, que je ne les entende plus parler de révolution, sinon je sens que je vais m'énerver.
Sinon suite à l'augmentation de salaire de notre bien aimé président de plus de 200 pour cent, les députés ont voté au mois de novembre la fin de l'impot de bourse, ce qui va evidemment ammener à une reduction de plus de deux cent millions d'euros dans les recettes fiscales, mais en fait comme l'ont dit les députés UMP, ça va permettre d'échapper aux délocalisations sur les opérations de bourse, une fois de plus j'aurais envie de dire que l'on ne prête qu'aux riches.
Et c'est exactement ce que fait le gourvernement en ce moment, les cadeau fiscaux aux entreprises se multiplient, mais qu'en est il des privilèges des supers patrons qui gagnent des fortunes indécentes?? je sais que ça semble être tiré d'une diatribe de la lutte ouvrière, mais quand on voit sarkozy passer des vacances sur un yacht ou dans un chateau aux états unis et ensuite nous demander  à tous de nous serrer la ceinture, il y a vraiment de quoi nous poser des questions.
on nous martelle que les "réformes" sont inéluctables, que l'on ne peut plus se permettre de cotiser aussi peu, qu'il faut augmenter encore et encore le nombre d'annuité ( heu le régime spécial des parlementaires c'est quoi?? c'est 30800 euros par mois de retraite pour Jacques Chirac qui cumule les régime spéciaux de retraite de président de la république, de maire de paris, de député, de conseiller général etc... pour la suite voir la vidéo qui suit), mais lorsque l'on voit les chiffres, tous les obseravteurs financiers s'accordent à dire que la France n'a jamais été aussi riche de toute son histoire, le problème qui se pose alors est de savoir à qui profite cette richesse? pas à nous en tous cas.
lorsque je vois les usagers de la fonction publique et des transports se plaindre des grèves, je me dis que la désinformation atteint des sommets, les médias ont bel et bien réussi à opposer les classes moyennes et pauvres entre elles, si l'on veut la casse du service public à plus ou moins long terme, continuons dans cet esprit et le gouvernement y réussira, j'aurais envie de dire "tous ensemble, tous ensemble!!!"manifestation

17 mars 2007

horloge

8 mars 2007

Big City Night!!!

Et oui, une fois de plus et la dernière fois dans sa forme actuelle, les artistes se donnent rendez vous à Evreux au pub Saint Thaurin pour la sortie d'Optical sound 6.0... le samedi 10 mars à partir de 19h vous pourrez venir assister à un mix expo concert qui va vous décaper les esgourdes et vous rafraichir la pupille, des groupes de rock à ceux de hip hop, la ballade sera bien sur aussi assurée par les colorisateurs graffeurs fous.
Et aussi, car il y a un et aussi, les assembleurs seront eux aussi dans la place, alors ne vous attendez pas a m'entendre chanter, c'est pas encore trop mon truc mais je serais là avec mes vieux potos Tino et Flo pour essayer de vous emmener gouter une nouvelle recette, celle de notre univers, alors viendez y gouter!!!!
PS: revenez vite sur ce site ou celui des assembleurs pour voir les photos et les vidéos, promis les aminches que j'en mettrai!!!
 

26 janvier 2007

Allumez les bougies, éteignez les ampoules!!!!

L’Alliance pour la Planète (groupement national d’associations environnementales) lance 5 minutes de répit pour la planète, un appel simple à l’attention de tous les citoyens : le 1er février 2007 entre 19h55 et 20h00, éteignez veilles et lumières.
Il ne s’agit pas d’économiser 5 minutes d’électricité uniquement ce jour-là, mais d’attirer l’attention des citoyens, des médias et des décideurs sur le gaspillage d’énergie et l’urgence de passer à l’action !
5 minutes de répit pour la planète : ça ne prend pas longtemps, ça ne coûte rien, et ça montrera aux candidats à la Présidentielle que le changement climatique est un sujet qui doit peser dans le débat politique.

Pourquoi le 1er février ?
Ce jour là sortira, à Paris, le nouveau rapport du groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) des Nations Unies. Cet événement aura lieu en France : il ne faut pas laisser passer cette occasion de braquer les projecteurs sur l’urgence de la situation climatique mondiale.
Si nous y participons tous, cette action aura un réel poids médiatique et politique, moins de trois mois avant l’élection présidentielle !

Faites circuler au maximum cet appel autour de vous et dans tous vos réseaux ! Faites le également apparaître sur votre site Internet et dans vos news letters.


bougie

Et si vous voulez en savoir plus, allez faire un tour chez les amis de la terre

10 décembre 2006

Vitrine.

Cette petite robe d’été posée sur ce mannequin
Dans la vitrine décorée d’un grand magasin,
Elle t’irait si bien…
Tu marcherais avec comme la fée du printemps,
Femmes et hommes te regarderaient en souriant,
Les parcs des bancs te tendraient les bras,
Elle t’irait si bien…
Tu ne verrais pas tout ça trop occupée à écouter
Les oiseaux dans les arbres et les fleurs pousser,
Dans le tintamarre de la ville,
tu marcherais à pas tranquilles elle t’irait si bien…
mais tu reposes ta tasse, tu payes et puis tu sors
et je reste tout seul derrière mon comptoir,
à rêver à toi dans cette petite robe d’été, mais c’est l’hiver et je te vois pour la première fois. siluet

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